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raditz
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Bonjour à tous,
Hein quoi ? La thérie du genre ? C'quoi ? C'est tout simplement le choix du genre ( à aimé ou bien à vouloir se faire passer) je pense notamment aux penchants homosexuels, transsexuel ou bien bisexuel et hétérosexuel. Ces penchants là apparaitront en tant que cours pour les premières ES et L dans leurs programmes d'SVT. Cela suscite une inquiétude chez certains parents, qui est compréhensible pour certains et incompréhensible pour d'autres. Pourquoi être inquiet ? Je pars du principe qu'à 16-17-18 ans, nous sommes assez grands et mature (quoi que… XD) pour apprendre ce genre de chose. Les livres pour l'année prochaine sont imprimés demain, une pétition sera donc envoyer à M.Luc Chatel, ministre de l'éducation national, pour essayer de renverser cette décision. Je pense que cette pétition est une peine perdue, m'enfin, touts espoirs sont permis. Si vous êtes contre, vous pouvez signer la pétition ici et lire la lettre adressé au ministre là. Pour ou contre ? A vos réactions.
Zbeub zbeub
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ratonxx
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Bon je veux pas faire de polémique et je sait que l'homophobie est condmamné par la loi, je me retiendrais donc de répondre a ce débat.
Membre officiel du Fan Club Thijeanlouis <3
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peut22
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Hum … Je comprends pas trop. On va faire des cours pour expliquer les différences entre hétéro, bi, homo etc ? Mouais, je vois pas l’intérêt perso, en première je pense que l'on sait très bien la différence, et que c'est pas des cours qui vont te faire dire si t'es l'un ou l'autre …
Donc à moins d'un intérêt transcendant que je ne verrais pas, contre. |
raditz
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Y'a aussi un point de vue morale, est il nécessaire de parler de ce genre de chose ?
Zbeub zbeub
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peut22
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Si tu pouvais un peu expliquer de quoi ces "cours" parleraient, plus précisément.
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Ricka
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peut22Si tu pouvais un peu expliquer de quoi ces "cours" parleraient, plus précisément. Eh bien, je pense que pour le coup, raditz n'est pas à la place de L. Chatel, il n'en sait pas plus que ce qu'il y a marqué dans la lettre…
For a better day...
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raditz
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Et bien voici la lettre :
Monsieur le Ministre, La parution et la diffusion des manuels scolaires de « Sciences de la Vie et de la Terre » des classes de premières ES et L suscitent une vive inquiétude chez les parents. Beaucoup nous en ont fait part. En effet, à partir de la rentrée prochaine, les élèves de ces classes recevront dans cette matière un enseignement directement et explicitement inspiré par la « théorie du genre ». Un tel changement va bien au-delà d’une simple actualisation des programmes scolaires : il constitue un choix qui s’annonce lourd de conséquences et contre lequel je tenais à vous exprimer mon incompréhension et vous dire combien je partage les inquiétudes des parents. Que de tels enseignements soient devenus parties intégrantes du programme, et donc obligatoires, suscite de multiples questions qui, toutes, justifient les fortes réserves dont je vous fais part aujourd’hui. Sur le fond, d’abord et surtout, enseigner le « Genre » en SVT, avec des intitulés comme « Devenir homme ou femme »…, confère un statut de science à ce qui se présente, en effet, comme une théorie mais qui, dans les faits, relève de l’idéologie. Cela doit être dit. À tout le moins, nous demandons à ce que, pour chacun des points traités dans cette perspective, les enseignants présentent les débats que suscite la présentation inspirée du « Gender », et les différents points de vue qui existent sur ces sujets et sur leurs statuts. Cette précision nous paraît, d’ailleurs, d’autant plus indispensable que les tenants de cette idéologie affirment mener un travail militant qui acquiert, par cet enseignement, une légitimité qui nous paraît contradictoire avec le principe de neutralité et le respect des croyances des élèves et de leurs familles. Associations Familiales Catholiques Confédération Nationale Mouvement national reconnu d’utilité publique Ce changement de programme pose ainsi directement la question du rôle des enseignants, de la formation qu’ils auront reçue pour aborder cette partie du programme et de la liberté pédagogique qui sera la leur en la matière. Par ailleurs, la perspective développée dans ces enseignements adopte – pour en dénoncer les effets – une conception simpliste de l’apprentissage où l’enfant et l’adolescent recevraient, dès leur plus jeune âge et passivement, les informations de leur environnement extérieur, alors même que de nombreuses études montrent combien l’enfant et l’élève participent activement au processus d’apprentissage. Toujours sur le fond, la nature des sujets abordés pose aussi la question de savoir à partir de quel âge certaines notions peuvent être exposées à des adolescents. Pour en tenir compte, il faudrait notamment que ces enseignements donnent lieu à une information des parents d’élèves et de leurs représentants. Sur la forme maintenant, nous regrettons de n’avoir pas été associés aux travaux qui ont conduit à cette évolution des programmes ou du moins informés de cette évolution, et ce d’autant plus que, comme vous le savez, notre mouvement est particulièrement attaché à trouver les moyens d’une collaboration fructueuse entre l’école et les familles. Ceci passe par la reconnaissance et la valorisation du rôle de chacun et de son apport. Tout ce qui serait compris comme une tentative de contournement des parents, sur des sujets aussi sensibles que l’éducation affective et sexuelle, ne pourrait que susciter des incompréhensions, voire des tensions, particulièrement préjudiciables à l’élève. Compte tenu de l’inquiétude qui se manifeste largement, je souhaite pouvoir vous rencontrer pour un échange sur ces questions et envisager avec vous les moyens, non seulement de rassurer les parents, mais aussi d’apporter les correctifs nécessaires aux programmes tels qu’ils vont être enseignés dès la rentrée prochaine, des correctifs d’autant plus nécessaires que les programmes en question n’auront pas non plus les résultats attendus en matière d’éducation affective et sexuelle et de prévention des discriminations. Vous remerciant par avance de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, en l’expression de ma profonde considération. Antoine RENARD Copie à MM. Nicolas Sarkozy et François Fillon. _________________________________________________________________________ FIN DE LETTRE _________________________________________________________________________Il en va de la liberté de conscience au sein de l’école et, au-delà, dans toute la société : l’école n’a pas pour mission de véhiculer, surtout sur des sujets qui font débat, une façon de voir ou une façon de penser. Nous l’avons récemment écrit au ministre de l’Education nationale à propos des nouveaux programmes de SVT en classe de première ES et L. Les AFC ont également engagé des actions, y compris par voie contentieuse, pour s’assurer du respect des principes de neutralité, laïcité et intérêt général car les promoteurs de certaines de ces évolutions affichent clairement un objectif militant. Les parents ne peuvent pas être tenus à l’écart. Ils sont, les mieux à même de savoir à partir de quel âge certaines notions peuvent être exposées à des enfants et des adolescents et sont seuls légitimes à transmettre ce qui est du domaine des modes de vie ou des convictions. Les enseignants doivent, eux, pouvoir remplir leur rôle en toute liberté et notamment la liberté de pouvoir présenter les débats que suscite telle ou telle « théorie », les différents points de vue qui existent sur ces sujets et leurs statuts respectifs.
Zbeub zbeub
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peut22
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Juste … Pour savoir … D'où tiennent-ils les informations concernant ces "cours" ? Je ne peux m'empêcher de douter de ce qui est évoqué, j'aimerais bien voir de quoi ça parlerait exactement …
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raditz
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Et bien tu n'as pas à en doûter car Christine Boutin à écrit à Luc Chatel pour protester à cela.
Zbeub zbeub
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peut22
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Ouais, mais je veux savoir où les gens qui peuvent donner leur opinion sur ce sujet ont trouvé leur sources.
Avec les infos qui sont pour le moment sur ce topic, donner un avis serait insensé, on ne sait pas de quoi on parle, alors ça va tourner en rond. |