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Tyranique
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Voilà, moi qui connaît Shield depuis de longues dates, il m'a conseiller de mieux écrire (les majuscules et les points) et de faire une fan-fiction.
Donc le voilà avec moi pour m'aider. Nom : Nornanecrostar/Nostalgie Type : Horreur Sang : Oui Description : C'est l'histoire d'un monde ou la mort et l'hexile habite, les decénnies meurent, le sang coule, un monde ou le périple est l'épreuve principale. Dans ce monde, un survivant. Il n'est pas devenu comme ces personnes sans vie, mais les sacrifices qu'il a fait, sont a savoir… Chapitre 1 : Paralyser Il était là, assis, les paroles des gens autours… Ils ne s'en rendait pas compte. Il regardait la neige fondre sur les toits, ou rester. La vie était devenue dure, jamais aucun jours ne nous relaxait. Les parents se disputaient a se battre. C'était l'époque "du vieux saoulard" ou tout le monde mouraient de faim. Il se détachait du groupe. Il allait sur son portable, sans se demander s'il était réellement payé. La vie était pour lui habituelle, mais sans raison. Il ne voyait pas comment aurait pu être la paix. Quand il entendit des voix, il s'en contrefichait, mais, même si son esprit été ailleurs, son corps était là, lui. Il entendit un claquement sourd, sa tête tourna : - Monsieur Col, entendez-vous notre cour ? - Oui Madame. - Qu'ais-je dis il y a 3 secondes, pas plus ? - Vous m'avez dit "Entendez-vous notre cour ?" - Ferme ta geule !!!! L'école était devenue plus simple, sans régles : Les professeur frappaient les élèves. Les éléves sortaient du cours comme bon leur semble. Les professeur peuvent insulter les élèves. Col en avait marre, il sortit du cour en essuyant le sang coulant sur sa joue. Il partit ensuite pour le bois, pour se rafraîchir les idées. Il pensit : - La prof' ose tapez ses élèves comme des chiens ?!!! Il marcha, marcha… puis il se perdit. Il vit au loin un village, espérant trouver quelques pièces pour appelez ces parents, il courut vers lui. Pendant des heures il courut, en vain. Il arriva enfin dans le village, épuisé. - Quelqu'un ?? Il toussa. Un silence meditatif lui répondit. Il vit une femme marcher. Il courut vers elle. - Qu.. (il se fit interrompre) - Ne me dis rien, tu est Kai Col ? Dit la femme en souriant. - Comment savez-vous mon nom ?? Dit Kai, vraiment intrigué. - Le directeur de l'école te cherche. Dit la femme d'un air agacé. - Qu'il me trouve ! On verra bien ! Ricana Kai. - Mais ? Tu n'est pas loin du village ou tu habite. Dit la femme d'un rictus tordu ressemblent un peu a un sourire. - Vous avez fait erreur… Dit Kai se retenant de rire. - Si, regardez. Montra du doigt la femme, on aurais pu croire qu'elle s'exclamait mais elle était calme. Kai, étonné, vis un bois fin et rectiligne a quelques pas de son village, effrayant a voir, ce n'était plus le même bois ! Mais il avait beau chercher du doigt le bois d'ou il venait, c'était toujours le même. Kai dit, agacé : - Appelez mes parents. - Bien, bien, vient. Ricana la femme. Ils entrirent dans un vieille maison, avec des tableaux d'une même femme ressemblant a celle qui cherchait son téléphone, devant lui. Le dos enfin relevé, elle regardas au dessus d'elle. Elle vit bien autre-chose que lui. Elle dit : - Ces tableaux sont a ma mère. Dit la femme - Elle vous ressemble. Dit Kai - Merci. Répondit la femmme. - Ou est-elle ? Je devrais la saluer. - Malgrès mon vieille âge, elle est dans la cave je crois. - Elle doit-être agée pour vous. - Elle m'a eu vers 14 ans. - Ah… La femme avais la ceintaine, comme la femme devant,lui. - Comment vous appelez-vous ? Dit Kai - Je m'appelle Orey. Dit la femme - Orey comment ? répliqua Kai. - Orey Jayne. Dit-elle. Ils montait les escaliers, et puis enfin, la femme prenna un téléphone. Orey Jayne était habillée en robe noire. Elle était ridée, fréle… Ils redescendirent. Le téléphone ne marchait pas. Elle dit au garçon : Tiens, 10 francs et 5 euros, fais en bon usage. Elle esquissa un sourire. Il trouvit une cabien et mit 1 euros dedans. Il composit le numéro de ses parents. Le numéro joint n'est pas disponible pour le moment, appelez le 07. La facture ! elle n'avait pas été payée ! Il ne restait plus que son portable ! Comment avait-il pu l'oublier ? En classe ? Il remetta 1 $ et composa le 17. - Police oui ? - Je me suis perdu, on m'a receuilli mais je dois rentrer chez moi. - Restez chez la personne qui vous as hebergez encore une jour la police viendras dans le village. - Village St Patrick. - Je le sais. Le dernier mot (la derniére phrase) le troubla, il savait que c'était St Patrick ? Il rentra chez Orey Jayne. - Verdict ? (elle savait qu'il été allé a la cabine. - Désolé… on m'a dis que vous deviez m'herberger… - Rien ne me géne en ça. Kai eu envit de dire : Moi si ça me géne ! mais il n'en dit pas plus, il passa la journée a feindre de lire en regardant derrière la neige. Le soir, il coucha dans une chambre hinospitalière ou on croirait que les coussins avait fais une guerre, une incofortabilité qui aurait pu tuer un chameau. La nuit il fut reveillé. Il courut pour s'enfuir dans la rue, il alla dans une ruelle. C'était la ruelle de toutes les caves, il se cacha dans un cave ouverte, en se retournant, horrible spectacle… il vit un corp jonché par terre, mattraqué par une arme de poing et dévoré par les mouches. Un cri d'horreur aurait pu lui échapper. Que se passeras t-il ? Découvriras t-il le meurtrier ? Combien de personnes survivront ? Le résumé de la suite : Chapitre 2 : Le jeu Kai tomba de haut. Il apparu dans un centre, déclaré meurtrier juvénile par l'état. Un homme l'aida, mais lui proposa un pacte. Une fois impliqué, il l'aiderait dans "Le jeu". [Edité le 18/12/2012 à 23:39]
je suis nouveau Make Your Face
je cherche du renouveau Make Your Face j'aime pas les blagues de toto Make Your Face |
nathan812
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C'est Exil pas hexile.
Sinon , c'est super , continue comme ça ! |
ironfire
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J ai un peu survole car j'ai mon bus10 minutes. Mais ca a l air pas mal !
Sur ma vie que personne ne m'arrête
J'traine avec quelques analphabètes Qui suivent mes instructions à la lettre! |
Tyranique
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désolé, j'ai quelques soucis en orthographe.
en fait, c'est surtout le chapitre 2 qui seras le meilleur, le 1 était plus une introduction, j'ai tout miser sur le 2, j'y ai pris pas mal de temps. Je le post ce soit, promis. [Edité le 18/12/2012 à 12:10]
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boodur
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Trop de fautes, on parle plus de soucis en orthographe quand on écrit femmme au lieu de femme, ou ceintaine au lieu de centaine.
Ça semble plus être un truc bâclé qu'autre chose, une nouvelle preuve vers la fin : Il trouvit une cabien et mit 1 euros dedans. Il composit le numéro de ses parents. Le numéro joint n'est pas disponible pour le moment, appelez le 07. La facture ! elle n'avait pas été payée ! Il ne restait plus que son portable ! Comment avait-il pu l'oublier ? En classe ? Il remetta 1 $ et composa le 17. (encore cabien au lieu de cabine d'ailleurs) 1) Depuis quand faut payer des factures pour les cabines téléphoniques ? 2) Si le premier coup marche pas, pourquoi le deuxième ? Sous prétexte que c'est un service "d'urgence" ? Enfin, le prologue pour la suite fait plutôt office de spoil Que se passeras t-il ? (Bah la question se pose pas, sinon y'a pas de suite, on se doute bien qu'il va se passer un truc) Découvriras t-il le meurtrier ? (Moui, idem si il le découvre pas, c'est un peu con) Combien de personnes survivront ? (Depuis quand les gens sont censés crever 1 par 1 ?!?) Avant de poster un nouveau truc, recommence un truc propre parce que là, l'histoire se perd complètement au milieu du fouillis orthographique. Un chapitre par jour, c'est beaucoup trop rapide, faut prendre son temps à chaque étape (écriture du scénario, écriture de l'histoire, relecture, correction de fautes, et mise en page pour finir).
"Pour savoir si il va y'avoir du vent, faut mettre le doigt dans le cul du coq."
"Faut pas respirer la compote, ça fait tousser." "Your hope ends here...AND YOUR MEANINGLESS EXISTENCE WITH IT !" |
ZALA89
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les décennies meurent?
bon, j'ai tout lu, et à vrai dire mes yeux saignent. Je vais être méchante mais c'est tout bonnement horrible à lire, on dirait de la torture. [Edité le 18/12/2012 à 18:43] |
Tyranique
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Je comprends.
En fait j'avais fait le début puis je devais me dépêcher pour la fin. J'avais qu'une scène clefs pour la fin de cet épisode et je voulais qu'elle marche. Donc j'ai vite essayer de trouver la suite car ce que j'avais fait avant ne correspondais pas trop. Donc je vais me relire pour le chapitre 2 (je pensais le mettre en 1er mais rien n'aurait de sens, je travaille plus sur lui que sur le 1er donc je crois peut-être que vous pourrez voir peu de fautes. Enfin moins que sur le 1er). : Chapitre 2 : Le jeu L'image est spéciale… (psychédélique, irréelle) Il se réveilla, somnolent, il faisait noir, il ne savait pas ou il étais, il tituba jusqu'à une porte, a barreaux. Il essayait de voir distinctement a quoi ressemblait cette porte, mais il avait l'impression d'être repoussé a chaque fois qu'il la touchait, puis, il retoucha la porte, sa tête, sa conscience lui disait de prendre ses jambes a son coup par une autre porte (il y en avait des centaines) mais quelque chose l'attirait vers celle-ci. Il tomba, tout seul, comme saoul, et vis le sol disparaître. Il avait peur. Il avait peur de tomber. mais il savait que cela n'allait pas arriver, bizarrement. Pourtant, cela arriva, il tomba, entendit une voix… Il ne la captait pas. Il entendit des bruits, sourd pour lui mais bien réel : Rh…. Shnn… C'était bien des phrases dans sa langue mais les ondes va et venait et déformait les paroles… Mais il entendit une voix bien distincte, féminine : Tu n'est pas prêt !!!! Il se sentit dévasté. Une voix se fit entendre : Il dors… Quelques secondes plus tard, il se réveillait, dans un lit dans un centre clair, lumineux. Il avait du dormir bien deux jours mais avais la gueule de bois, c'était un rêve, et il en était bien content. Il entendit : - Oui. Dit une voix d'homme endurci. - Suivez mes ordres. Dit une voix d'homme, mais frêle, fragile. - Il dort encore. Répondit la première voix. - Vous me l'avez déjà dit. Dit la voix fragile du patron, escarpée par la maladie. - Je le sais. Répondit l'homme. La dernière phrase dite dans son rêve était la phrase de l'homme, un soldat, sûrement. Il se leva, et vu qu'il était bien pris pour un tueur juvénile ! Bizarrement, ça ne lui fit aucun effet. Kai pensait surtout a ce rêve. Il se disait : "Bizzard, j'ai l'impression que c'est vrai.." En fait, il croyait que la femme allait le sortir d'affaire, Orey Jayne. En fait, non, au contraire. En entendant les policiers, il vit qu'elle avait porté plainte. Il été mal barré. Il pensait vraiment a sa survie, là. Il injuria les gardes qui ne les laissaient même pas voir ces parents. Il leurs a demander une conversation téléphonique quand un homme mince, au doigt frêles et au cou long arriva. Il lui dit : - Désolé monsieur Col, mauvaise nouvelle… (Les personnes d'aujourd'hui manquait de tact) Kai inspira. - Vôtre père est mort. Il a eu un accident. - De voiture ? Dit Kai - Non… Dit l'homme mince qui ressemblait a un homme d'affaire - De quoi ? Dit Kai. - De quelque chose ! s'exclama l'homme. Il était homme d'affaire, 30 ans environ. Il avait les cheveux poivre et sel et paraissait tout le temps fatigué. Il s'appelait Cluk, nom dont il avait souffert. Cluk Muin. Mince, frêle, fragile, et un peu craquelé. Menton ciselé, rides et cernes en fusion totale. Kai était étonné de ne pas pleurer ou de ne pas s'effondrer. Il semblait sans émotions. Enfin, il comprit. Il avait été anesthésier, pas pour une opération, non, comme un tranquillisant. Il avait une envie de s'évanouir quand un garde le pris par le bras. Il l'emmena dans un pièce sobre, sans couleurs ni émotions vives dans cette pièce. Il dit au héros : - Dis moi ce que tu as fait a Clarine Jayne ? - Rien ! Affirma Kai. - Tu mens ! Désapprouva le garde. - Si.. Kai était épuisé. Le garde le brusqua d'un coup de poing : - On a retrouvé tes empreintes ! Kai ne répondit pas. Il était choqué, il n'avait pas touché le cadavre, un criminel a du… il n'osait pas imaginé qu'on puisse le faire passer pour coupable. On entendit un bruit net, des coups sec, comme un fouet. Une tempête s'était élevée et fouettait les vitres, avant qu'on entende des bruits. Kai était étonné de voir le garde ramasser les bouts de verres du a l'explosion de la vitre. Il n'eut pas d'autres choix. Il se servit de la chaise pour assommer le garde qui l'interrogeait. Il prit sa carte d'identité, vitale, son portefeuille, sa carte bancaire, son argent liquide. Tout pour survivre. Il entendit des pas, il paniqua. Il vit un général avec 2 soldats entrer et le renverser : - Donne ce que tu lui as volé ! Dit le général. Le général envoya un coup dans le ventre de Kai. Ce n'était, même avec la folie des temps qui court, pas normal. On lui voulait quelque chose. On entendit alors un bruit aigu. Fort et aigu. Tout le monde tomba. On le prend par le bras d'une pogne puissante. Kai était abasourdi et dormait en même temps. Il leva la tête. Il ne vit pas le visage de la personne, mais devina un homme. Il était fatigué, assailli, il dormait. Il se retrouva encore dans ce cauchemar, enfin la pièce, mais tout était différent a chaque fois. Là, il vit un homme lui parler. Il parlait l'étranger. Un mélange d'Espagnol, de Grec, d'Indien et d'Allemand. C'était bizarre. Chaque mot était bien prononcer, mais aucune langue comme ça n'existait. On entendait plusieurs fois ce mot : Kurau, sûrement du japonais, un nom. Il se réveillas encore dans un endroit inconnu. Une petite cabane. Vermoulue, pleine de mauvaises odeurs… L'homme lui dit : - Tu vas bien ? - Oui et vous ? Répondit Kai comme si cela était banal. - On peut dire ça. Dit l'homme fatigué. - Je suis désolé de vous avoir blessé en chemin. Dit Kai en voyant les blessures de l'homme sur son bras saignant. - C'est le jeu… Dit l'homme banalement. - "Le jeu" dit Kai intrigué. - Ah.. Je vois… Dit l'homme se mettant un chiffon mouillé sur ses blessure. - Comment vous appelez vous ? Dit Kai qui voyait les discutions qu'il as eu avec lui faiblir. Silence - Charles Lein… - Je vois… Dit Kai qui étais impuissant face a ce silence. - Je vous suis redevable. Ajouta Kai. - Tu parle trop. Dit l'homme. - Bien… Dit Kai qui se sentait coupable. - Pars. Dit l'homme sèchement. - Je n'ai pas d'endroits ou dormir. Dit Kai. - Sinon. Tu m'est bien redevable. Dit l'homme. - Ah… Dit Kai en pensant : j'ai tout sur le dos. - Tu vas devoir m'aider au jeu. - C'est quoi ce jeu dit Kai fatigué. - Un jeu de vie ou de mort. Kai ne put rien dire d'autre. Il pleurait pour ses parents, il avait de l'amertume. Toutes les émotions qu'il aurait du ressentir se faisaient apparaître, là. Il était en plus choqué par le jeu "de vie ou de mort" qui ne présageait rien de bon. Il ne put dire qu'un mot : Qu.. oi.. Quo… Qui… Quoi ? Il allait s'endormir mais il tomba raide dans une énergie. Il devait avoir ses explications. Il racla sa gorge : - Qu'est-ce jeu ? Dit Kai. - Le jeu de l'autre mec masqué… Les règles sont simples : Tu est choisi et tu dois tuer les autres, sinon le mec masqué te tueras, ceux qui tiennent a la vie réussissent. - Sais tu comment sont morts mes parents ? - T'a eu la réponse devant toi il y a 4 heures. (Kai comprit : les militaires) - Pourquoi ils ont fait ça ? - Je l'ignore mais ils en veulent plus a toi qu'ils en voulaient à eux. Mais a cause de toi, j'ai un fardeau de plus en plus du jeu. - De toute façon je mourrai bien vite… - Orey Jayne et sa "mère" ne pouvait pas être mère/fille, elles avaient environ le même âge. En conclusion si tu préfère… (il se racla la gorge) Une voix de vieille femme se fit entendre : - Moi et ma soeur jumelles on était proches. Mais elle a toujours parut plus âgée que moi. Quand le jeu a débuté, on étais prêtes a mourir ensemble mais nos liens on été testés et je l'ai tuée. Elle ne valait rien de plus qu'une conscience saine. C'était Orey Jayne. - La réunion commence… c'était un autre voix. - Fatiguant… Une autre voix encore. - J'ai besoin du rembourrage de ma poupée ! Une autre voix. - C'est mignon comme vous allez mourir vites, idiots et idiotes. Une autre voix. Et une autre, une autre… Bientôt, plusieurs ombres humaines recouvraient les 4 étroites fenêtres de la cabane. Vous me dites si j'ai mal écrit. Spoil : Chapitre 3, Une décision Orey Jayne est bien redoutable, mais elle n'est pas seul, tout le village ! Quel est cet étrange objet trouvé dans la salle ou la femme de la réunion est morte ? Donc… à Jeudi ! [Edité le 18/12/2012 à 23:38]
je suis nouveau Make Your Face
je cherche du renouveau Make Your Face j'aime pas les blagues de toto Make Your Face |
boodur
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Honnêtement, arrête le chapitre par jour, ça mène à rien.
Encore une fois y'a des fautes, des incohérences, des problèmes grammaticaux, je dirais pas que c'est à reprendre de A à Z mais pas loin… Le mec est complètement HS, mais il arrive a fracasser un homme dans la force de l'âge (faiblard ou non) avec une chaise. Mais il pense quand même à prendre des trucs pour survivre, alors qu'il sait ni ou il est, ni ce qu'il y fait. J'ai pas pu aller plus loin désolé.
"Pour savoir si il va y'avoir du vent, faut mettre le doigt dans le cul du coq."
"Faut pas respirer la compote, ça fait tousser." "Your hope ends here...AND YOUR MEANINGLESS EXISTENCE WITH IT !" |
974loic974
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http://www.reverso.net/orthographe/correcteur-francais/
(Ça sera déjà un début) [Edité le 19/12/2012 à 10:10]
(╯°□°)╯︵ ┻━┻
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boodur
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Nan mais si tu veux j'peux corriger les fautes on verra plus clair ^^
"Pour savoir si il va y'avoir du vent, faut mettre le doigt dans le cul du coq."
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